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- Cosmogonie/cosmologie sumérienne: la douzième planète

Les souverains de Sumer, l'empire d'Akkad, les traditions Assyro-Chaldéennes, Babylone, les pharaons et prêtres Egyptiens, les Hittites, même les traditions orales védiques des Rishi aux origines de l'Hindouisme, vouent un culte au "Disque/Globe ailé".
Ce symbole divin n'a cessé de se transmettre au fil des millénaires et des civilisations de Mésopotamie, les assyriologues s'accordent sur son origine sumérienne.

- NIBIRU: la douzième planète
- Autres illustrations tirées du best-seller de Zécharia Sitchin, The 12th Planet, montrant ici une grande divinité céleste entourée de onze astres et dont le douzième, symbolisée par Marduk ou NIBIRU, figure au-dessus de sa tête.
Sitchin ajoute aussi qu'une description assyrienne de la porte d'Anou (la demeure des Cieux) confirme la familiarité et les similitudes avec notre propre système solaire.

De nombreux textes et inscriptions attestent de la présence dans notre système solaire d'une douzième planète personnifié par Marduk (akkadien) ou Nibiru (sumérien) "la planète du croisement", d'où les Anounnaki (akkadien) "ceux qui des cieux vinrent sur Terre" - les Annuna (sumérien) "dieux du Ciel et de la Terre", contribuèrent à édifier, structurer et influencer notre civilisation ici-bas.
On peut lui attribuer plusieurs épithètes: "un brillant corps divin", "seigneur des dieux célestes", "Grand Corps Céleste", "Celui qui illumine", il est largement décrit dans l'"Épopée de la Création".
Des sources mésopotamiennes mettent en évidence la période orbitale de ce "grand voyageur". Le système de numération sumérienne (sexagésimal) symbolisait le nombre 3600 par un grand cercle. L'épithète pour planète - shar ou sar ("souverain suprême") signifiait également "un cercle complet/parfait" ainsi que le nombre 3600.
On trouve également des sources directes dans la Liste Royale Sumérienne antédiluvienne, par la présence de parfaits multiples du shar, des cycles chronologiques de 3600 ans pour mesurer leurs règnes.



C'est par l'intermédiaire des colonies grecques d'Asie Mineure (partie occidentale de l'Anatolie) que l'on mesure l'influence directe des astronomes, astrologues et mathématiciens de Mésopotamie.
Historiquement, Homère dès le VIIIe siècle av. J.-C., Pythagore et Thalès de Milet au VIe siècle av. J.-C., également Hérodote, Alexandre le Grand, Aristarque de Samos, Hipparque, Claude Ptolémée... n'ont cessé de diffuser les connaissances fondamentales Babylo-Chaldéennes et Égyptiennes à travers la Méditerranée.


Bien que cela n'apporte pas l'ataraxie à l'Ordre établi,
On observe de manière récurrente que le contenu des récits sacrés originels est transposable et complémentaire. Les différences ethnologiques et linguistiques entre les peuples depuis l'Antiquité ne sont plus une barrière, le caractère analogue du "divin" rejoint la théosophie Antique (interpréter les légendes, mythes et contes sacrés selon une logique d'analogie et de correspondances).

- Rappelons que N.Copernic "pris la peine de lire les livres de tous les philosophes et astronomes antiques qu'il put obtenir" pour élaborer sa théorie révolutionnaire sur l'héliocentrisme en 1511-1513.
Copernic fait référence à Aristarque de Samos, Hipparque, Cicéron que Nicétus, Héraclide du Pont, Philolaos de Crotone, et une influence probable par les astronomes arabes et perses du Moyen Âge. L'archéologue C.W.Ceram signale que les astronomes babyloniens mentionnaient la précession des équinoxes même si, faute de modèle héliocentrique, ils n'en soupçonnaient pas la raison.

L'évidence de contacts ou d'apports de savoirs fondamentaux en provenance de Sumer se font de plus en plus ressentir. De nombreuses civilisations antiques nous révèlent des connaissances en astronomiques qui, faute de moyens techniques pour les observer, n'étaient pas censé être en leur possession.

La planète Pluton ne fut découverte qu'en 1930, Sedna en 2003 et que jusqu'en 1780, on pensait qu'il n'existait que sept corps dans notre système solaire.
- La récente (re)découverte de Phattie (nom provisoire) la neuvième planète (reclassement par l'UAI le 24 août 2006) ne serait-elle pas une bonne candidate pour confirmer l'impensable.

- Rappel: la cosmologie/cosmogonie sumérienne



De lointaines civilisations comme les Sumériens, mais également les Rishi et les hymnes védiques, l'Empire d'Akkad, les Assyro-Chaldéens, les Babyloniens, les Égyptiens, les indiens d'Amérique du nord et du sud, nous ont transmis un savoir astronomique/mathématique associé à des traditions théologiques/cosmogoniques qui, faute de moyens techniques, ne pouvaient pas être en leur possession, et dont l'origine se trouve en Sumer, 4000 ans avant J.-C.

La masse d'informations ahurissantes qu'ils possédaient en astronomie se confirme jour après jour par l'intermédiaire de récentes observations...



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